Parcours de vi(ll)es
Travail en cours d'écriture
Réflexion sur ce qui lie histoire urbaine et histoire sociale: ou comment la perméabilité entre les deux permet la circulation des individus et des idées?
En posant le postulat que l'espace peut déterminer les impasses sociales et pour réfléchir et créer autour de ce thème, nous orientons notre réflexion sur le parcours de vie et de ville; ou comment mon/mes parcours à travers la ville interfère avec mon histoire et comment cette histoire s'inscrit dans la ville?
Raconter à l'autre son parcours ou celui de ses parents peut lui donner une valeur d'épopée du quotidien.
Faire matière artistique des non-dits, se confronter à l'autre comme autant de possibilité de (re)appropriation de son propre parcours.
«Devenir plus humain passe par l’autre, par l’épreuve de l’altérité ET par la construction d’une identité sereine nécessairement enracinée dans une ou plusieurs communautés.»
Roger Nifle, "Le sens du bien commun".
Travailler sur l'essence du mot parcours, en comprendre la valeur et en extraire les bienfaits; déjouer les pièges de la lecture d'un territoire empreint de clichés, afin de démanteler les enfermements qui en découlent.
Photographies Myriam Drosne
Définition du mot parcours, dictionnaire historique de la langue française: parcours, de parcourir: du latin per (par) et currere (courir), courir à travers, courir vers un lieu, accomplir un trajet déterminé. Le mot parcours a commencé par désigner juridiquement, dans le cadre de la féodalité, la convention en vertu de laquelle les habitants d'une seigneurie pouvaient aller résider dans une autre sans perdre leur franchise; le mot désigne également le terrain sur lequel on fait paître les troupeaux en fonction du droit de parcours, sens conservé en droit rural moderne (droit au parcours et vaine pâture, Code civil, 1804). Le sens courant est devenu: "déplacement déterminé d'un point à un autre, chemin correspondant", avec de nombreux domaines d'utilisation.
Travail en cours d'écriture
Réflexion sur ce qui lie histoire urbaine et histoire sociale: ou comment la perméabilité entre les deux permet la circulation des individus et des idées?
En posant le postulat que l'espace peut déterminer les impasses sociales et pour réfléchir et créer autour de ce thème, nous orientons notre réflexion sur le parcours de vie et de ville; ou comment mon/mes parcours à travers la ville interfère avec mon histoire et comment cette histoire s'inscrit dans la ville?
Raconter à l'autre son parcours ou celui de ses parents peut lui donner une valeur d'épopée du quotidien.
Faire matière artistique des non-dits, se confronter à l'autre comme autant de possibilité de (re)appropriation de son propre parcours.
«Devenir plus humain passe par l’autre, par l’épreuve de l’altérité ET par la construction d’une identité sereine nécessairement enracinée dans une ou plusieurs communautés.»
Roger Nifle, "Le sens du bien commun".
Travailler sur l'essence du mot parcours, en comprendre la valeur et en extraire les bienfaits; déjouer les pièges de la lecture d'un territoire empreint de clichés, afin de démanteler les enfermements qui en découlent.
Photographies Myriam Drosne
Définition du mot parcours, dictionnaire historique de la langue française: parcours, de parcourir: du latin per (par) et currere (courir), courir à travers, courir vers un lieu, accomplir un trajet déterminé. Le mot parcours a commencé par désigner juridiquement, dans le cadre de la féodalité, la convention en vertu de laquelle les habitants d'une seigneurie pouvaient aller résider dans une autre sans perdre leur franchise; le mot désigne également le terrain sur lequel on fait paître les troupeaux en fonction du droit de parcours, sens conservé en droit rural moderne (droit au parcours et vaine pâture, Code civil, 1804). Le sens courant est devenu: "déplacement déterminé d'un point à un autre, chemin correspondant", avec de nombreux domaines d'utilisation.
Commentaires
Enregistrer un commentaire